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La dégradation des terres est perçue comme une diminution de la capacité de production (productivité) des sols. Elle se manifeste par une dégradation physique (déstructuration des agrégats), une dégradation chimique (salinisation, acidification, alcalinisation) et une dégradation biologique (baisse de l’activité des micro-organismes du sol).

 Selon la Convention des Nations Unies pour la Lutte Contre la Désertification (CNULCD), il s’agit d’une situation de "dégradation des terres dans les zones arides, semi-arides et subhumides sèches par suite de divers facteurs, parmi lesquels les variations climatiques et les activités humaines".   

Toute substance solide, liquide, gazeuse, ou résidu d’un processus de production, de transformation, ou d’utilisation de toutes autres substances éliminées, destinée à être éliminée ou devant être éliminée en vertu des lois et règlements en vigueur.

La Commission Mondiale pour l’Environnement et le Développement de l’ONU dite « Commission Brundtland » en a donné en 1987 la définition suivante :  Le Développement durable est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la possibilité, pour les générations à venir, de pouvoir répondre à leurs propres besoins.  Le développement durable se veut un processus de développement qui concilie l'écologique, l'économique et le social et établit un cercle vertueux entre ces trois pôles.  Autrement dit, il s’agit d’un développement :  - économiquement viable (lien entre l’économie et l’écologie) ;  - socialement équitable (lien entre social et l’économie) ;  - écologiquement soutenable (lien entre l’écologie et le social).

Variabilité des organismes vivants de toute origine y compris, entre autres, les écosystèmes terrestres, marins et autres écosystèmes aquatiques et les complexes écologiques dont ils font partie ; cela comprend la diversité au sein des espèces et entre espèces ainsi que celle des écosystèmes. (Article 2 de la Convention sur la diversité biologique, Rio 1992).