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Selon l’ Article 2 – 31 de la loi 2018-25 du 12 novembre 2018 portant code forestier, un parc national est une zone où des restrictions quant à la chasse, la pêche, la capture des animaux, le ramassage des œufs, la destruction de leur gîte, l’exploitation des végétaux, les produits du sol ou du sous-sol, la réalisation d’infrastructure sont édictées en vue de la conservation de la diversité biologique.

Le parc est également réservé aux études scientifiques, au tourisme de vision et à l'éducation.

 

C’est une bande de terre environ de 15 à 25 m de large dégagée de toute végétation et empêchant le passage du feu.

 

 

Il s’agit d’une bande constituée de plusieurs lignes d’arbres, généralement d’essences sempervirentes pour constituer une barrière à la propagation du feu.

 

 

La plupart se composent de suie, constituée de carbone solide qui résultent de la combustion incomplète du carburant. Pour cette raison, les véhicules diesels sont souvent une source importante de particules en zones urbaines créant la pollution de l’air.

Elles sont dangereuses, parce qu’elles peuvent se loger profondément dans le système pulmonaire, créant de nombreux problèmes de santé ; plus elles sont petites, plus grands sont les dommages.

 

 

Pépinières implantées et gérées par l’administration forestière. 

 

 

Propriétés exclusives d’individus utilisant une main d’œuvre familiale ou d’entrepreneurs privés employant une main d’œuvre plus ou moins spécialisée.

 

 

Elles sont implantées dans les écoles et autres établissements de formation avec l’appui conseil du service forestier local.

 

 

Terrain dénudé ou insuffisamment boisé sur lequel s’exerce ou risque de s’exercer une érosion grave et dont le reboisement ou la restauration est reconnu nécessaire du point de vue agronomique, économique ou écologique (Article 2 – 33 de la loi 2018-25 du 12 novembre 2018 portant code forestier).

 

 

 

La plantation consiste à mettre en terre, dans des trous préalablement préparés (piquetage et trouaison, préparation du substrat et remplissage des trous au besoin selon le type de plantation), des plants issus de pépinières ou des portions de tiges ou de branches d’arbres

 (bouture, stump, marcotte, etc.). 

 

Ce sont des plantations massives mais à vocation plus écologique comme l’amélioration de la productivité des sols, la protection des ouvrages de DRS/CES, le renforcement de la couverture d’écosystèmes particuliers, etc. (RNA, Mise en défens, enrichissement, DRS/CES, restauration mangrove, conservation ex situ de ressources phytogénétiques).

Elles regroupent les haies vives, les brise-vent, les plantations de délimitation, d’alignement ou d’axes routiers.

Ce sont des types de plantations en bloc à écartements variables avec des espèces forestières (en plein ou bloc) ou fruitières (verger) dont la vocation est la production de bois, de fruits, gomme ou autres produits forestiers.

Ensemble des règles destinées à protéger les ressources hydrauliques par la surveillance et le contrôle de la qualité de l’eau en vue de prévenir sa pollution.

Tout élément ou rejet solide, liquide ou gazeux, tout déchet, odeur, chaleur, son, vibration, rayonnement ou combinaison de ceux-ci susceptibles de provoquer une pollution.

Toute personne physique ou morale émettant un polluant qui entraîne un déséquilibre dans le milieu naturel.

Toute contamination ou modification directe ou indirecte de l’environnement provoquée par tout acte susceptible :

- d’affecter défavorablement une utilisation du milieu profitable à l’homme ;

- de provoquer ou de risquer de provoquer une situation préjudiciable à la santé, à la sécurité, au bien-être de l’homme, à la flore, à la faune, à l’atmosphère, aux eaux et aux biens collectifs et individuels.

Emission dans la couche atmosphérique de gaz, de fumées ou de substances de nature à incommoder les populations, à compromettre la santé ou la sécurité publique ou à nuire à la production agricole, à la conservation des constructions et monuments ou au caractère des sites et des écosystèmes naturels.

Introduction dans le milieu aquatique de toute substance susceptible de modifier les caractéristiques physiques, chimiques et biologiques de l’eau et de créer des risques pour la santé de l’homme, de nuire à la faune et à la flore aquatiques, de porter atteinte à l’agrément des sites ou de gêner toute autre utilisation normale des eaux.

 

 

Introduction directe ou indirecte de substances ou d’énergie dans le milieu marin, lorsqu’elle a ou peut avoir des effets nuisibles sur la faune et la flore marines et sur les valeurs d’agrément ; lorsqu’elle peut provoquer des risques pour la santé de l’homme ou constituer une entrave aux activités maritimes, y compris la pêche et les autres utilisations normales de la mer.

Toute sensation auditive désagréable ou gênante, et tout phénomène acoustique produisant cette sensation et ayant des effets négatifs sur la santé.

Indice du forçage radiatif faisant suite à l’émission d’une unité de masse d’une substance donnée, intégré pour un horizon temporel donné, par rapport à celui de la substance de référence, le dioxyde de carbone (CO2). Il représente donc l’effet combiné des temps de séjour différents de ces substances dans l’atmosphère et de leur pouvoir de forçage radiatif (GIEC, 2014).

Les protéines sont les « briques » de l'organisme. Elles permettent de fabriquer les muscles, les os, les cheveux, les ongles, la peau, etc.

Partie de la botanique qui étudie les maladies des végétaux.

Cette opération consiste à l’élevage de plants par :

-       des méthodes naturelles : les semences germent et se développent à l’état naturel dans un site protégé ou dans des zones cultivées ou pâturées. Si les semences proviennent d’ailleurs, on parle d’enrichissement naturel ;

-       des technologies artificielles : les plants sont produits dans des pépinières aménagées. Les pépiniéristes récoltent des semences suivant les normes requises, procèdent aux semis dans des gaines ou des pots et entretiennent les plantules jusqu’à leur maturation pour la plantation. Par ailleurs, des techniques de reproduction par voix végétative sont aussi utilisées avec du matériel végétal (boutures, greffons, fragments de racine, éclats de souche…) pour assurer une production de plants viables de qualité.

On entend par « puits » tout processus, toute activité ou tout mécanisme, naturel ou artificiel, qui élimine de l’atmosphère un gaz à effet de serre, un aérosol ou un précurseur de gaz à effet de serre.